La petite ville s'est redynamisée avec l'aménagement et le développement d'une zone semi piétonne qui lui donne un agrément complémentaire à la simple visite du château. Langeais possède aussi deux églises qui méritent d'être visitées: Saint Jean-Baptiste et Saint Laurent.
Langeais est une ville ancienne qui a un passé historique intéressant.
Les Faiences de Langeais ont eu leur période de gloire à la fin du XIXème siècle.
Enfin il est indispensable de découvrir les monuments des villages autour de Langeais.
Ce château a été construit par Jean Bourré, capitaine de Langeais, à la demande du roi de France Louis XI entre 1465 et 1470 (il englobe les ruines féodales dans son parc).
Il est dans le centre de la ville sur une petite hauteur qui lui permet aussi de dominer la Loire qui est à proximité sur son flanc Sud.
Il a été réalisé en une seule campagne de travaux, en cinq ans. Par chance il a été éparné par des restaurations mal adaptées.
Il a conservé les caractéristiques extérieures d'un chateau médiéval, son aspect défensif est très perceptible. Il possède trois hautes tours rondes avec des tourelles en retrait qui sont surmontées d'une toiture cônique. Un chemin de ronde à machicoulis se développe en continuité autour du chateau sur près plus de 130 mètres de longueur.
Chateau de Langeais: vue du côté Est
Il était protégé par des douves qui sont maintenant devenues des rues de la ville. Le projet de construction initial prévoyait d'édifier un quadrilatère avec des batiments au nord et à l'ouest qui n'ont jamais été réalisés. Le chateau possède trois grosses tours rondes donnant sur la ville.
Pour autant, quand on le regarde de la cour intérieure, une influence de type pré-renaissance commence à s'y faire sentir, son allure devient celle d'un château résidentiel. Les deux ailes des bâtiment forment un angle ouvert (cf photo ci-dessous) qui donne sur une cour et des jardins qui s'élèvent par terrasses successives jusqu'aux ruines du Donjon Féodal.
Le décor et l'ameublement ont été reconstitués comme à l'époque, il possède en particulier des tapisseries de Flandres et d'Aubusson des XVème et XVIème siècles.
Château de Langeais vu du côté Ouest
En 1631 le roi Louis XIII attribue le château à Louise de Lorraine, fille du duc de Guise et veuve du prince de Conti.
Celle-ci le vend peu après au Maréchal d'Effiat puis en 1766 il passe au duc de Luynes. Acheté en 1886 par Jacques Siegfried, il a été légué en 1904 à l'Institut de France.
Le mariage de Charles VIII et d'Anne de Bretagne
C'est dans le château de Langeais qu'a été célébré, le 6 décembre 1491 par L'évêque Louis d'Amboise, le frère du Cardinal Georges d'Amboise, le mariage du roi de France Charles VIII et d'Anne de Bretagne.
Anne, pourtant déjà mariée (par procuration) à Maximilien d'Autriche (les ducs de Bretagne cherchaient à se protéger par tous les moyens des visées annexionnistes des rois de France), fut forcée d'épouser le roi de France qui faisait peser sur la Bretagne la menace de ses armées. Elle avait 16 ans lors de son mariage.
Ce mariage est le premier acte du processus qui entraina la réunion définitive de la Bretagne à la France.
Anne de Bretagne, duchesse de Bretagne Charles VIII, roi de France
Pont Levis du chateau Chateau de Langeais Vue du côté Est
Le château féodal de Langeais
C'est à Langeais que Foulque III Nerra, comte d'Anjou, en lutte contre les comtes de Blois fait construire une forteresse à la fin du Xème siècle.
Elle était destinée à lui servir de point d'appui pour organiser la conquête de Tours et de la Touraine.
L'enceinte de ce château-fort a disparu, il ne reste que des pans de mur du donjon. C'est le plus ancien modèle de donjon en pierre connu en France. Pour faciliter la défense, l'entrée se faisait au premier étage et non pas au niveau du sol.
Eudes I, comte de Blois, en fait le siège et l'enlève en 994. Foulque Nerra le récupère un peu plus tard.
Au XIIème siècle le château appartient aux Plantagenets, comtes d'Anjou puis bientôt rois d'Angleterre à partir de Henri II.
En 1216 le roi de France Philippe II Auguste annexe le château et la ville. La forteresse a été en bonne partie détruite au moment de la Guerre de Cent ans..
L'église Saint Jean Baptiste de Langeais a été fondée par Saint Martin au IVème siècle. Sous l'abside se trouve une crypte datant du Xème siècle avec une travée droite voûtée en berceau et un hémicycle.
Clocher Roman Choeur et abside centrale Chevet Roman et transept du XIXème siècle
Le choeur et le chevet remontent du XIème siècle, ils sont de style Roman.
Vu de l'intérieur le chevet comporte une abside principale (cf photo ci-dessus au milieu) et deux absidioles qui prolongent la nef et ses bas-côtés.
Vu de l'extérieur (cf photo ci-dessus à droite) le chevet est renforcé par des contreforts rectangulaires. Chaque fenêtre étroite est couronnée par un arc en plein cintre et l'ensemble de ces ouvertures est surmontée par un cordon à damier, principalement horizontal mais qui suit le plein cintre et traverse les contreforts.
Le clocher Roman
Le clocher de l'église est du XIIème siècle également en style Roman tardif. La tour est épaulée par des contreforts assez plats, côté Sud se trouve une tourelle d'escalier et juste à côté deux arcatures aveugles.
Le clocher possède deux étages de baies. Au premier étage chaque face présente une haute fenêtre surmontée par un arc en plein cintre avec trois voussures retombant sur des colonnettes. Au second étage chaque face a deux fenêtres avec la même configuration qu'au premier (cf photo ci-contre).
Le clocher a été endommagé par le mauvais temps à plusieurs reprises et à chaque fois reconstruit et réaménagé. La flèche a été élevée vers 1450. Le portail et le porche côté Ouest ont été refaits au XVIème siècle.
Tourelle et étages du côte Sud du clocher de l'église Saint Jean-Baptiste
L'église a été restaurée en 1864 d'une manière peu satisfaisante, la transept jure avec le chevet et le clocher (cf photo ci-dessus à droite).
L'église Saint Laurent
L'église Saint Laurent se situe à l'extrémité Ouest de Langeais, à environ un kilomètre du centre et du château. Elle était à l'origine un Prieuré de l'Abbaye de Beaulieu les Loches, elle est ensuite devenue une église paroissiale. Sa construction date des XIème (la nef) et XIIème siècles.
Chevet, travée droite, transept et nef de l'église Saint Laurent
L'église Saint Laurent a une organisation originale comme le montre la photo ci-dessus, le chevet se composait d'une abside principale et de deux absidioles (il n'en reste qu'une côté Sud), en allant vers l'Ouest, une travée incorporée au transept puis une longue nef sans bas-côtés.
La nef et la travée à l'intérieur du transept sont du XIème siècle, le transept et les absides sont du début du XIIème siècle ce qui explique les décalages d'alignement.
L'abside est en hémicycle et l'absidiole restante est voûtée en cul-de-four (cf photo ci-dessous à gauche qui montre également le décalage d'alignement). A l'extérieur, l'abside principale est renforcée par des contreforts rectangulaires.
La partie haute des pignons des bras du transept présentent une partie en moyen appareil réticulé (cf photo ci-dessous à droite).
Chevet et transept Eglise Saint Laurent de Langeais Bras du transept: haut du pignon réticulé
La photo ci-contre montre la façade de l'édifice et le mur gouttereau du côté Sud, ils sont renforcés par des contreforts plats.
Chaque travée est percée d'une fenêtre étroite et en plein cintre.
Jadis un portail précédait l'entrée, il a été détruit en 1938.
Façade et mur gouttereau Sud de l'église Saint Laurent
L'église Saint Laurent a été vendue comme Bien National au moment de la Révolution Francaise, en 1798.
Elle a subi un incendie en 1861 puis a été transformée en atelier. Elle accueille maintenant des expositions.
Juste à côté, le château de Saint Laurent était, à l'origine, une petite forteresse médiévale.
La Loire est particulièrement belle autour de Langeais. Elle est ample avec de nombreuses iles allongées coupant le fleuve.
La Loire à Langeais
Les grandes crues de 1846, 1856, 1866 et 1872 ont durement frappé la ville.
Le Pont de Langeais
Le Pont de Langeais
C'est le roi des Francais Louis-Philippe qui a lancé l'édification du Pont par une ordonnance du 10 mars 1839.
La construction s'est déroulée en trois ans de 1846 à 1849. Elle a été conduite par l'architecte Vestier. En 1859 le pont est sérieusement endommagé par un orage. Le péage subsistera jusqu'en 1888.
Le pont est reconstruit entre 1934 et 1937 (cf photos). Endommagé le 19 juin 1940, une passerelle assura un service réduit à partir de 1946. Ce n'est qu'à la fin de 1950 qu'il est réouvert pour un usage normal.
Il a été renforcé en 1982 et 1983 pour permettre le passage de véhicules de gros tonnages.
A l'époque mérovingienne un atelier monétaire était établi à Langeais et y fabriquait de la monnaie.
A la fin du Xème siècle, Foulque III Nerra, comte d'Anjou, en lutte contre les comtes de Blois fait construire une forteresse qui lui sert de point d'appui pour organiser la conquête de Tours et de la Touraine.
Eudes I, comte de Blois, en fait le siège et l'enlève en 994. Foulque Nerra reprend la forteresse un peu plus tard.
Au XIIème siècle Langeais appartient aux Plantagenets, comtes d'Anjou puis bientôt rois d'Angleterre à partir de Henri II.
Foulque V, comte d'Anjou rapporte de Terre Sainte un fragment du Saint Sépulcre et de la Crèche du Christ. Ils sont placés dans un oratoire du château.
En 1189, Richard Coeur de Lion nomme un capitaine gouverneur de Langeais, puis en 1199 le château et la ville sont donnés à Robert de Vitré.
Plus tard, le château est confié par le roi Louis VIII à Hugues de Lusignan à condition de ne pas y élever de nouvelles fortifications. Après diverses vicissitudes, il est récupéré par Louis IX.
Ce roi attribue Langeais à son frère Alphonse comte de Poitiers qui ensuite vend la chatellenie à Pierre de La Brosse, Chambellan et favori du roi de France Philippe III le Hardi. Pierre de La Brosse a été pendu à Montfaucon le 30 juin 1278 et son domaine confisqué par le roi.
En 1422, la chatellenie de Langeais appartient à un Anglais, Thomas Ston. La garnison Anglaise, commandée par des chefs tels Albaron Sabbat ou Ferrand de Caille, passait son temps à piller toute la campagne environnante. La ville de Tours parvient à se débarrasser d'eux en versant la somme considérable de 2000 écus d'or.
A partir du XVIème siècle, Langeais a perdu tout intéret stratégique et son château ne correspond plus aux gouts du temps. La petite ville s'est assoupie et mène une existence tranquille. En 1766, Langeais a été intégré au duché de Luynes.
A de nombreuses reprises, la ville a été victime des inondations de la Loire, et plus particulièrement en 1856.
Les Faiences de Langeais
A partir du XVIIème siècle se développe, à Langeais et dans ses environs, un artisanat basé sur le travail de l'argile, en effet l'argile de la Rouchouze possède des propriétés intéressantes. Cette activité occupe plus de trois cent personnes et apporte souvent un appoint aux revenus de l'agriculture. Les productions sont simples: briques, tuiles, carreaux et quelques poteries. Elles sont réalisés dans les treize fourneaux de la commune.
En 1839 Charles de Boissimon et Julien Boilesve créent une fabrique à Langeais. En mélangeant l'argile avec du kaolin ils obtiennent une pate permettant de produire des faiences. En 1850 Charles devient seul propriètaire de la fabrique. Jusqu'en 1879 il développe une production de faiences de qualité en utilisant un métal qu'il importe du Pérou et du Chili: le platine. En 1878 la fabrique vend pour cinq millions de kilogrammes de produits céramiques. A cette époque elle occupe plus de cent personnes. Le fondateur, Charles de Boissimon décède en 1879. Sa veuve et son fils Raoul poursuivent l'exploitation de la fabrique qui est rachetée en 1909 par Léon Dargouge. A partir de 1916 la production de faiences chute au benefice de produits plus basiques.
Table des matières :
LE BASSIN DE LANGEAIS : 1. Situation 2. Un peu d'histoire 3. L'industrie céramique à Langeais 3.1. La terre de Langeais 3.2. Les briques, les tuiles et les carreaux 3.3. La faïence fine - La préparation des pâtes - Le façonnage des pièces - L'achevage - La cuisson des pièces - Coloration et décor - La glaçure - Cuisson des décors et du vernis - Les lustres
LA FAMILLE HEARD de BOISSIMON
1. Origines de la famille de Boissimon
1.1. Généalogie partielle des heard de Boissimon 2. Charles Heard de Boissimon 1839-1879
- La fondation
- L'affaire du pont de Langeais
- La fin d'une alliance
- La société « La Fabrique de Langeais »
- La vie publique de Monsieur de Boissimon
- Dernier hommage
- Les expositions
3. Charles Marie Raoul Heard de Boissimon 1879-1889
- Le médecin
- L'industriel
- Claire de Moucheron
- Une mort prématurée
- Inventaire
- La clientèle
4. René Charles Marie Raoul de Boissimon 1889-1909
- La tutelle
- Une gestion irréprochable
- Le conseil judiciaire - La vente
- La fin d'un nom
LES AUTRES FABRIQUES
1. Gerberon Dieudonné
2. Sertier Lebert et Cie
3. Jules Defond
CHRONOLOGIE
1. Les Langeais
2. Les couleurs
3. Les décors
4. Essai de classification
- Les Langeais de foire
- Les Langeais bourgeois
- Les pièces rares
5. Les marques
6. Les ressemblances
7. Conseils aux amateurs de langeais
Table des matières :
I. QUATRE-VINGTS ANS DE LANGEAIS 1839-1919
II. EXPOSITIONS ET INVENTAIRES :
21 - Les expositions
22 - Les inventaires
III. LE CLASSEMENT DES LANGEAIS :
31 - Les formes
32 - Les décors
33 - Les couleurs
34 - Les marques
35 - Les dates
IV. LA SUBTILITÉ DES LANGEAIS :
41 - Les jardinières
42 - Les Langeais style Louis-Philippe
43 - Les services à eau
V. NOTRE CLASSEMENT ILLUSTRÉ :
1 - Les Langeais de foire et les commandes de série
2 - Les Langeais miniatures
3 - Les Langeais blanc crémeux
4 - Les Langeais blanc crémeux avec rehaut de platine
5 - Les Langeais avec apport de couleurs sur décor en relief
6 - Les Langeais à glaçure colorée
7 - Les Langeais à fond crème décorés à la main
8 - Les Langeais à réserves blanches sur fond platine
9 - Les Langeais à fond crème avec décor en impression
10 - Les Langeais à fond crème avec décor en décalcomanie
11 - Les Langeais marron
12 - Les Langeais bleus
13 - Les Langeais bleus émaillés
14 - Les Langeais jaunes
15 - Les Langeais rouges
16 - Les Langeais verts
17 - Les Langeais dorés
18 - Les Langeais d'artistes
19 - Les Langeais « trompeurs »
20 - Quelques modèles atypiques
En se dirigeant à l'ouest vers Saint Michel sur Loire on passe devant les restes de la Maison Forte de la Roche Allard qui remonte au Moyen Age.
Maison Forte de la Roche Allard
Saint Michel sur Loire
En continuant cinq kilomètres le long de la Loire vers l'ouest on atteint Saint Michel sur Loire qui domine le fleuve en haut du coteau de la rive Nord.
Saint Michel était le siège d'une seigneurie qui relevait du château de Chinon, elle a été détenue par des familles importantes ainsi celles de Sancerre et de Bueil.
La photo ci contre présente l'entrée de l'ancien château de Saint Michel.
Bréhémont
Bréhémont se situe sur la rive Sud de la Loire, cinq kilomètres à l'Ouest de Langeais, en direction d'Ussé.
La vue sur la Loire y est très belle.
Lignières de Touraine
Lignières de Touraine est un village qui se situe au carrefour de quatre châteaux de la Loire. En effet, il est à cinq kilomètres au Nord d'Azay le Rideau, à trois kilomètres de Marnay où passe l'Indre, mais aussi à la même distance de la Loire et de Langeais. Pour complèter cette situation, le château de Villandry est à huit kilomètres vers l'Est et celui d'Ussé à une douzaine de kilomètres à l'Ouest.
Eglise Saint Martin de Lignières de Touraine
L'église Saint Martin faisait partie d'un Prieuré, elle comporte deux parties bien visibles sur les photos ci-dessus, le choeur et la nef principale sont du XIIème siècle et de style Roman, la nef côté Sud est du début du XVIème siècle. L'église a été restaurée au milieu du XVIIIème siècle.
La Création d'Eve, le Jardin d'Eden et la Tentation d'Adam et Eve, Adam et Eve chassés du Paradis
La restauration de l'église conduite en 2009 a permis de dégager un ensemble de fresques murales qui ont été réalisées à la fin du XIIème siècle et remaniées dans les deux siècles suivants.
Ces fresques sont situées dans le choeur, sur la voûte de l'abside (cf photo ci-dessous à gauche).
La fresque centrale est un Christ en Majesté entouré des quatre Evangélistes: Marc, Mathieu, Jean et Luc (cf photo ci-dessous à droite).
sur les autres fresques, les thèmes suivants sont représentés:
La Création d'Eve, le Jardin d'Eden et la Tentation d'Adam et Eve, Adam et Eve chassés du Paradis (cf photo ci-dessus)
La Tentation de Jésus dans le Désert, Jésus à la Ville Sainte au sommet du Temple, Jésus au sommet de la Montagne
Le Festin du mauvais Riche et la Mort du Pauvre (Lazare), la mort du mauvais Riche
Fresque des Travaux des mois de l'église Saint Martin de Lignières de Touraine
Sur l'arcade à l'entrée du choeur sont représentés les Travaux des Mois, leur qualité est remarquable, les mois de décembre et janvier sont absents. Les fresques permettent d'illustrer les conditions et les rythme de la vie médiévale dans les campagnes de la Touraine
En février un vieil homme se chauffe devant la cheminée
En mars le travail du mois est la taille de la vigne
En avril c'est la cueillette des premières fleurs et des herbes
En mai c'est la chasse au faucon
En juin le travail du mois est la fenaison à la faux
En juillet le blé est moissonné à la faucille
En août le blé est battu avec un fléau
En septembre le raisin est foulé aux pieds dans une cuve pour produire du vin,
Octobre est le mois des semailles (cf photo ci contre)
Novembre est celui de la chasse au sanglier (cf photo ci contre).
Fresques de l'abside Eglise Saint Martin de Lignières de Touraine Fresque du Christ en Majesté
Un kilomètre à l'Est de Lignières, sur la route de Villandry se situe le hameau de Fontenay.
Château de Fontenay
Il possède un petit château-fort du XIVème siècle avec une belle enceinte carrée (cf photo ci-dessus).
Ce château a été construit sur les restes d'une villa Gallo Romaine.
Fouchault
En poursuivant, à partir de Fontenay, sur la route qui mène vers Villandry, on atteint Fouchault, hameau qui possède les ruines d'un ancien et important chateau du XVème siècle.