Le village de Cunault a été, au Moyen-Age, un lieu de pélerinage, il lui en reste une belle Collégiale. Corrélativement, le village organisait de nombreuses foires réputées. Encore au XIXème siècle, l'activité de la Marine de Loire lui assurait une certaine prospérité.
La cale sur la rive de la Loire à Cunault
Sur la rive de la Loire subsiste toujours une cale avec deux rampes d'accès à la route et une plate-forme intermédiaire (cf photo ci-dessus). Ce dispositif permettait de charger sur les bâteaux des charges lourdes (blocs de pierre en tuffeau par exemple).
Cunault est maintenant un village tranquille qui garde un peu d'animation à la belle saison grace aux touristes.
La Collégiale Notre-Dame
Le monastère de Cunault a été fondé à la fin du IVème siècle par un disciple de Saint Martin, Maxenceul.
En 845, il est donné par le comte Vivien à l'Abbaye Saint Philibert de Grandlieu. A partir de 857, les moines de ce monastère fuient devant les Normands et se réfugient à Cunault. Quelques années plus tard, ils poursuivent leur fuite jusqu'à Tournus en Bourgogne.
La Collégiale Notre-Dame de Cunault: façade et clocher
Certains reviennent ensuite à Cunault, c'est pourquoi le prieuré dépend de l'Abbaye de Tournus à partir du Xème siècle.
Pendant le Moyen-Age, le monastère s'enrichit grace aux nombreux dons qu'il reçoit et aussi par l'importance du pélerinage sur le tombeau de Saint Maxenceul et sur l'anneau de la Vierge qu'il détient. C'est cette richesse qui permet de construire l'église d'envergure qui est parvenue jusqu'à nous.
Le monastère a été victime de la Guerre de Cent Ans et des Guerres de Religion. Au XVIIIème siècle, il se réduit à quelques moines et en 1741 il est supprimé. En 1749, l'édifice est divisé, le choeur est vendu à un particulier qui en fait une grange, la nef reste affectée au culte.
Au moment de la Révolution Française, l'édifice est vendu comme Bien National. En 1838, Prosper Mérimée remarque ce monument et il est racheté. Sa restauration est engagée, elle va durer plus de trente ans.
Juste en face du porche se trouve l'ancien logis du Prieur qui a été construit en 1510 par Pierre Cottereau pour y loger les moines. Les autres bâtiments du monastère ont disparu, ils se situaient sans doute au Sud de l'église.
Construction de l'église
La construction de l'église actuelle de Notre Dame de Cunault s'est effectuée sur l'emplacement d'une église plus ancienne dont seul la Tour a été préservée. L'église a un transept réduit et sa longueur est supérieure à 70 mètres. La longueur du vaisseau traduit une influence ligérienne (les comtes de Blois étaient très présents dans la région jusqu'au début du XIème siècle.
Les travaux de reconstruction ont commencé autour de 1100 et se sont étendus sur tout le XIIème siècle et le début du XIIIème siècle. L'église est construite avec des pierres de tuffeau blanc issues de carrières locales.
Vue d'ensemble de la Collégiale Notre-Dame de Cunault
Les premières campagnes ont porté sur le choeur et les quatre travées orientales de la nef et enfin les travées occidentales et la façade au XIIIème siècle.
Les parties hautes ont été remaniées au XVème siècle à des fins de sécurisation de l'église, la flèche au-dessus de la tour est aussi de cette époque.
Plan de Notre-Dame de Cunault
La construction de l'édifice permet de ressentir les influences Poitevines.
Les voûtes et les arcs porteurs sont en berceau brisé sauf les arcs du cul-de-four de l'abside. Les collatéraux ont presque la même hauteur que la nef.
A l'initiative de Prosper Mérimée, l'église a été restaurée au milieu du XIXème siècle, à partir de 1840 et sur une vingtaine d'années.
Cet ouvrage fait une étude d'ensemble de l'Art Roman en Anjou.
Pour autant de nombreux édifices de ce style sont maintenant disparus. L'auteur s'est attaché à reconstituer ces églises détruites.
L'Abbaye de Fontevraud, la Collégiale de Cunault et l'Abbaye du Ronceray sont étudiés en détail.
L'ouvrage examine avec attention de nombreuses églises rurales.
La facade Ouest est monumentale, elle a été réalisée au XIIIème siècle. Elle est encadrée par deux puissants contreforts.
En bas, elle est dotée de deux paires de colonnettes et d'arcs aveugles brisés de part et d'autre du portail.
Au-dessus, une balustrade crenelée (refaite au XIXème siècle) fait la séparation avec le niveau supérieur.
Sur ce niveau, la façade comporte trois fenêtres. La décoration de la grande fenêtre du milieu a été complétée au XIVème siècle, en particulier avec, dans la partie haute, des trèfles à quatre feuilles de style Gothique.
Les deux fenêtres latérales sont de dimension réduite, elles surmontée d'un arc avec un cintre légèrement brisé.
Au-dessus, une balustrade dont les modillons ne sont pas sculptés est surmontée par un pignon triangulaire.
La fenêtre du milieu est beaucoup plus grande, elle a été remaniée au XIVème siècle en style Gothique.
Façade de la Collégiale Notre-Dame de Cunault
Au dessus, la présence de créneaux rappelle que l'église a été fortifiée au XVème siècle pour se protèger d'éventuels pillages.
Le Portail
En bas, le portail est encadré par cinq colonnettes de chaque côté, elles supportent des voussures en plein cintre.
Tympan du Porche de Notre-Dame de Cunault
Sur le tympan (cf photo ci-dessus), une sculpture date du début du XIIIème siècle. Elle montre la Sainte Vierge assise sur un riche fauteuil et tenant l'Enfant-Jésus. Elle est entourée par deux anges à moitié agenouillés qui l'encensent. Au pied de la Vierge les sculptures d'angelots sont en mauvais état.
A l'origine cet ensemble était polychrome, il a été restauré au XVIIIème siècle.
Nef et les collatéraux
Intérieur de la nef de l'église de Cunault Eglise de Cunault Trois premières travées de la nef
On accède à la nef en descendant quelques marches à partir du portail. La nef comporte huit travées flanquées de collatéraux, ils sont presque aussi élevés que la nef centrale.
La largeur de la nef décroit de l'entrée vers le choeur ce qui accentue l'impression de profondeur (cf photo ci-dessous à gauche). Le vaisseau se rétrécit entre la 4ème et la 5ème travée, puis entre la 5ème et la 6ème et enfin en arrivant sur l'abside.
La nef centrale est voûtée en berceau légèrement brisé. Les voûtes des trois premières travées sont de style Angevin Plantagenêt avec des voûtes bombées présentant des ogives (cf photo ci-dessus à droite).
Collatéral de la nef de l'église de Cunault
Les collatéraux sont voûtés d'arêtes (ce qui permet de mieux supporter le poids de la voûte centrale) et l'édifice est éclairé par leurs fenêtres. La couleur blanche des pierres de tuffeau favorise aussi cet éclairage.
Le Clocher
Le clocher est sur le flanc Nord de l'église, son emplacement vis à vis de l'ensemble de l'édifice est inhabituel, il est sur la dernière travée du collatéral Nord de la nef. Normalement cet emplacement ne se trouve que sur les églises à nef unique. En fait ce positionnement correspond au croisillon Nord d'une église antérieure.
La Tour est carrée et surmontée d'une flèche en pierre encadrée par quatre lanternons (ronds et carrés). Elle a été réalisée au milieu du XIème siècle, c'est la plus anciennne de l'Anjou.
Son allure est massive et il est épaulé par de puissants contreforts construits postérieurement. Il possède trois étages de baies superposées décorées de sculptures.
Face Nord du clocher de l'église de Cunault Un des piliers soutenant le clocher à l'intérieur de l'église
A la base, une grande arcade à double rouleau supportés par des colonnes rejoint ces contreforts. La construction est sans doute issue d'une église antérieure car le type de pierres utilisées (petit appareil plutôt grossier) est très différent de celui du reste de l'édifice (grand appareil).
Les deux colonnes sont surmontées de chapiteaux qui symbolisent le Bien et le Mal.
Le chapiteau de gauche (cf photo ci-dessous à gauche) montre un ange (reconnaissable à ses ailes) touchant l'oreille d'une femme (la Vierge) assise sur un siège antique: c'est la scène de l'Annonciation.
Sur le chapiteau de droite (cf photo ci-dessus à droite) une sirène tend un poisson à un pêcheur debout dans sa barque, c'est la scène de la Tentation.
L'Annonciation Chapiteaux de la base du clocher de l'église de Cunault La Tentation
Au-dessus de la grande arcade, le premier étage est constitué de cinq baies aveugles qui, à l'intérieur, correspondent à la hauteur de la coupole qui est supportée par des trompes (cf photo ci-contre).
Vue de la coupole à l'intérieur de l'église
Au-dessus de cet étage une corniche est dotée de modillons sculptés de figures variées.
Deuxième étage du clocher de l'église de Cunault
Le second étage extérieur comporte trois baies bien décorées (cf photo ci-dessus), les colonnes ont des chapiteaux décorés de figures variées et les pieds-droits portent des arbres de vie. Au-dessus la décoration est réalisée avec des carrés disposés en pointe.
Le dernier étage a quatre baies surmontées d'une arcade plein cintre, elles sont plus simples bien que les chapiteaux et les archivoltes soient également sculptés.
Chevet, Choeur et Déambulatoire
Comme bien souvent la construction de l'église a commencé par le choeur et le chevet. Le choeur comporte trois travées et se termine par une abside fermée au XIXème siècle par un mur plat.
Choeur et abside Eglise de Cunault Déambulatoire
A partir de la nef, on accède au choeur en montant quelques marches. L'entrée de l'abside (cf photo ci-dessus à droite) possède des pilastres surmontés d'un arc brisé, cette abside est voûtée en cul-de-four
Le choeur est entouré par un déambulatoire (cf photo ci-dessus à droite) sur lequel donnait à l'origine trois absidioles rayonnantes et en hémicycle. L'absidiole située dans l'axe de l'église n'existe plus, elle a été rempacée par une chapelle carrée au début du XIVème siècle qui elle-même a été supprimée.
Le déambulatoire est voûté en arêtes et les piliers sont surmontés par des chapiteaux sculptés.
Chevet et absidiole Nord, en haut les contreforts sont allégés
A l'extérieur, sur le chevet, les absidioles restantes (cf photo ci-contre) ont des fenêtres surmontées par des arcs en plein cintre reposant sur des colonnettes avec des chapiteaux, des contreforts-colonnes sont présents entre chaque fenêtre.
Au dessus de chaque fenêtre, cinq petites baies aveugles sont décorées par un arc en plein cintre reposant sue des colonnettes et des chapiteaux qui eux sont sculptés. Au-dessus, une corniche est ornée de modillons sculptés de figures grotesques.
A l'intérieur, les absidioles sont voûtées en cul-de-four.
Livres des Editions Zodiaque, Collection La Nuit des Temps
L'église de Cunault possède environ 200 chapiteaux sculptés ce qui constitue un ensemble assez unique en France pour la sculpture du XIIème siècle.
A l'intérieur de l'église les piles de la nef et du choeur supportent de nombreux chapiteaux représentant des feuillages, des scènes profanes et sacrées.
Elles présentent aussi des scènes de batailles, des dragons et des monstres (cf photos ci-contre et ci-dessous), et des scènes de chevalerie qui ont font l'originalité et l'intéret.
Sculpture d'un chapiteau de Notre-Dame de Cunault: Têtes monstrueuses
Seules quelques scènes portent sur l'Evangile et la Bible. La photo ci-dessous montre la scène de l'Annonciation.
Sculptures d'un chapiteau de Notre-Dame de Cunault: l'Annonciation
Sur la droite de la photo, la Vierge (dont la tête est auréolée) se tient debout avec les deux mains sur la poitrine, paumes en dehors. Sur sa droite, un ange a le genou fléchi devant la Vierge, il a une main levée et l'autre tient un sceptre. A gauche de l'ange se trouve une sculpture du roi David jouant de la harpe.
Saint Philibert Sculptures polychromes de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault Moines
Sculptures de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault Les Lutteurs
La photo ci-dessus à gauche montre deux Lutteurs en train de combattre. Ils sont vêtus de tuniques courtes et ont les jambes bandées. Ils se combattent avec des gourdins et se protègent avec des boucliers ronds.
Sculptures de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault, au centre et sur la gauche sculptures de feuilles grasses
En examinant le pilier et la scène sur un plan plus large, des personnages entourent les combattants (cf photo ci-dessus) dont l'un tient une massue avec laquelle il s'apprête à frapper une autre personne.
Sur la gauche, les colonnes engagées voisines ont des chapiteaux avec des motifs végétaux tandis que la bande supérieure montrent des animaux en action (lionnes, pantères, etc).
Sculptures de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault: scène guerrière
Certains chapiteaux illustrent des scènes guerrières. La photo ci-dessus montre un guerrier avec son épée, son bouclier et sa cotte de maille, son cheval est derrière lui. Il combat deux personnages semi-monstrueux (des barbares ?) équipés d'une lance et d'un bouclier.
La datation des sculptures est difficile, l'équipement des chevaliers et le harnachement des chevaux permet de la situer autour du milieu du XIIème siècle.
Sculptures de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault
Les monstres (dragons, griffons, etc) sont réalisés avec soin, le corps est recouvert d'écailles légères (cf photo ci-dessus).
Sculptures de chapiteaux de Notre-Dame de Cunault: Atlantes (figures masculines, ici grotesques)
Les Peintures murales
Jadis, l'église était complètement peinte, il ne reste que quelques peintures dont les plus anciennes sont du XIIIème siècle.
Parmi les scènes représentées on peut distinguer un Saint Christophe portant l'Enfant-Jésus, les têtes de Saint Germain et Saint Sébastien (cf photos ci-dessous), Saint Valérien et un peu effacés, Saint Philbert et Saint Pérégrin, etc.
La Transfiguration: peinture murale de Notre-Dame de Cunault
L'ensemble le plus important est au-dessus de la porte qui ouvrait sur l'ancien Prieuré. La peinture date du XVème siècle et représente la Transfiguration: Jésus est entouré de Pierre, Jacques et Jean ainsi que de Moïse et d'Elie (cf photo ci-dessus). Dieu le Père est dans un médaillon au-dessus de Moïse, de l'autre côté, le Saint Esprit représenté par une colombe est sur la tête d'Elie. La Jérusalem céleste est figurée sur la droite.
Saint Langouré (ce n'est pas un saint officiel) soignait les malades atteints de langueur.
Sur la fresque, il est revêtu d'une chasuble, il tient les évanglises de la main gauche et bénit les malades de la main droite.
Saint Langouré, peinture murale de Notre-Dame de Cunault
La voûte de l'absidiole Sud comporte une peinture murale du XVème siècle représentant le Jugement Dernier.
Celle de l'absidiole Nord est recouverte d'une scène avec le Messie avec les Sybilles, les Prophètes (Isaïe, Habacuc, Osée, Zacharie, Salomon et David) et les Evangélistes avec leurs symboles (le boeuf, l'aigle, l'ange et le lion).
Dans la nef se trouve une peinture représentant Saint Valérien qui était le premier patron de l'abbaye de Tournus. On y trouve aussi Saint Philibert dont les reliques ont reposé quelque temps à Cunault.
Saint Sebastien Saint Christophe Saint Germain
Peintures murales de Notre-Dame de Cunault
Au centre, la peinture de Saint Christophe est du XVIème siècle, elle a été restaurée à plusieurs reprises. Il porte l'Enfant-Jésus et ses pieds sont dans une rivière poissonneuse.
A droite, Saint Sébastien était invoqué par les malades de la peste qui a fait de grands ravages dans la France et l'Europe du XIVème siècle.
A gauche, Saint Germain était un des saints invoqués pour guérir les maux de ventre.
Peinture murale de Notre-Dame de Cunault
La Chasse de Saint Maxenceul
La Chasse est un reliquaire ayant la forme d'une petite église. Elle est censée contenir les reliques de Saint Maxenceul qui entrepris l'évangélisation de Cunault et de ses environs dès la fin du IVème siècle.
Elle est sculptée dans du bois de noyer, elle a été réalisée au XIIIème siècle.
Sur le toit (cf photo ci-contre), le Christ en gloire est soutenu par deux anges, de part et d'autre deux autres l'encensent.
Chasse de Notre-Dame de Cunault
Sur la face en dessous six apôtres sont figurés, Saint Pierre tient une clef.
Les scènes sur les côtés portent sur la mort de la Vierge et son Assomption.
Aucune scène n'évoque Saint Maxenceul ce qui laisse penser que son nom a été donné à cette chasse a posteriori.
Hotels du Maine et Loire (49)
Voici des Hôtels dans le Département du Maine et Loire. Ce département correspond à peu prés à l'ancienne Province d'Anjou. Le département possède de nombreux châteaux en particulier ceux de Saumur et Angers.
Vue de Saumur avec le chateau surplombant la Loire, au fond, Notre-Dame des Ardilliers
Saumur est une ville intéressante pour les amateurs de Culture, de Monuments et d'Histoire. C'est un point de passage entre le Nord et le Sud de la France (Aquitaine, Poitou) qui est sous la garde d'un beau château qui domine la Loire comme le montre la photo ci-dessus. La région produit des vins fameux en particulier le Saumur Champigny.
La ville a été un foyer important de la Religion Protestante au XVIème et XVIIème siècles. Saumur est très connue pour son école d'Equitation: le Cadre Noir.
Elle offre de très beaux panoramas sur le fleuve et elle est dotée de nombreux sites et monuments intéressants: les dolmens et les sites Gallo-Romains sont fréquents et elle possède également des châteaux et de belles églises comme celle de Cunault sur les bords de la Loire.
La Loire à SaumurCliquez sur un site pour le visiter
Angers
La ville d'Angers était à l'origine la capitale de la Province d'Anjou, elle est devenue le chef-lieu du département du Maine et Loire lors de la Révolutiion Française. Sa position géographique en a fait une des métropoles de l'ouest de la France dès les temps les plus anciens.
Elle est située un peu au nord de la Loire qui passe en fait aux Ponts de Cé au confluent de ce fleuve avec la Maine. Le développement progressif de l'agglomération Angevine fait que celle ci touche désormais la Loire.
Angers compte environ 250000 habitants, la ville est agréable à vivre avec ses rues piétonnières, ses monuments et quartiers anciens en centre ville. Elle est située sur un coteau surplombant la Maine (qui regroupe les eaux des rivières Mayenne, Sarthe et Loir) à quelques kilomètres au nord de la Loire et à environ 100 km à l'ouest de Tours.
Les Vins de la Loire sont très connus en France et à l'international. En descendant le cours du fleuve, les premiers rencontrés sons ceux de Pouilly et de Sancerre, en haut à droite sur la carte ci-dessus. La seconde zone significative est la Touraine avec des appellations renommées comme Montlouis, Vouvray, Chinon, Bourgueil et Saint Nicolas de Bourgueil. Vient ensuite l'Anjou avec en particulier les vins de Saumur. Enfin les environs de Nantes sont le domaine du Muscadet.