L'entrée de Tours au XVIIIème siècle en venant du nord
Tours est une ville qui a un passé historique exceptionnel, à plusieurs reprises dans l'Histoire elle a été la ville principale de la France. Dès l'Empire Romain elle a été distinguée comme capitale de la IIIème Lyonnaise, elle s'est ensuite nourrie de l'afflux des pélerins au Moyen-Age puis du séjour des rois à la Renaissance. La ville a ensuite perdu de son importance quand les rois et leur Cour sont retournés à Paris. Pour autant c'est à Tours que les gouvernements se sont sont réfugiés aux moments difficiles, que ce soit lors de la Guerre de 1870 ou des débuts de la Seconde Guerre Mondiale.
Présentation de l'Histoire de Tours et de la Touraine
Tours
Tours est situé à la jonction de la Loire et du Cher, l'espace entre ces deux rivières constitue un emplacement favorable à une implantation humaine. Outre l'eau nécessaire à toute agglomération d'habitants, les deux fleuves constituent des lignes de défense vis à vis d'agresseurs extérieurs. Simultanément Tours est à la convergence de deux axes de communication majeurs: entre la France du Nord de la Loire et l'Aquitaine, entre l'Est (Lyon) et l'Océan Atlantique.
L'emplacement initial de la ville est délimité par l'enceinte Gallo-Romaine qui faisait environ un kilomètre de périmètre autour de l'espace protégé qui comprend la Cathédrale et le château. Cette emprise est suffisamment surélevée pour etre prémunie contre les inondations de la Loire. C'est l'actuel Quartier de la Cité.
Le véritable développement de Tours est issu du culte voué à Saint Martin. L'affluence de fidèles et pélerins sur son tombeau a généré une nouvelle cité autour de la Basilique abritant le corps du Saint. Cette cité prend au IXème siècle le nom de Chateauneuf.
La Touraine est structurée par la vallée de la Loire et par celles de plusieurs de ses affluents, les villes d'Amboise et Langeais se situent de part et d'autre de Tours.
Le Cher passe dans le Sud de Tours et rejoint le grand fleuve quelques kilomètres en aval.
L'Indre traverse latéralement la Touraine. La ville historique de Loches se situe sur ce fleuve ainsi que plusieurs châteaux connus.
Dans le Sud-Est de la Touraine, la Creuse sert de frontière avec le Poitou et une petite rivière, la Claise, arrose des petites villes d'origine ancienne.
Tout les événements marquants de cette région, décryptés par un spécialiste.
Voici résumée toute l'histoire de la Touraine, de la Préhistoire à nos jours. À travers les personnages emblématiques de la région et les faits historiques incontournables tourangeaux, l'auteur nous explique comment s'est construit le prestige de la Touraine.
De Saint-Martin évangélisant les campagnes au désaccord entre De Gaulle, Pétain et Churchill sur la conduite à tenir face aux Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, en passant par Anne de Bretagne, Gambetta ou Agnès Sorel (première maîtresse officielle d un roi de France), Pierre Audin nous dresse un portrait précis et sans détour de cette belle région.
Ce livre est un ouvrage de référence sur l'histoire de la Touraine, il a été réalisé par des Universitaires spécialistes de l'Histoire. Il décrit la vie de la Touraine au travers de toutes les époques: Gallo-Romaine, Moyen Age, Renaissance, XVII et XVIIIèmes siècles, Révolution et Empire, XIX ème siècles, les Guerres Mondiales et enfin la période contemporaine jusqu'aux années 1980.
Il possède de très nombreuses illustrations qui viennent appuyer les textes.
L'Epoque Gallo Romaine
C'est vers l'an 30 qu'a été créée la ville de Caesarodunum sur une butte la protégeant de la Loire.
Elle devient la capitale d'une province Gallo-Romaine (la Troisième Lyonnaise). La ville prend rapidement une certaine importance puisque au IIème siècle elle occupe une surface de près de 100 hectares le long de la Loire. Caesarodunum est alors une ville ouverte. Au IIIème siècle la ville est victime des incursions barbares et elle se replie à l'intérieur d'une enceinte dont des éléments restent visibles à la base de l'ancien château et surtout un partie complète subsiste à l'Est de la Cathédrale.
La ville est alors réduite à une surface de 10 hectares autour du château et de la Cathédrale.
Vous pouvez vous déplacer ou zoomer ou contre-zoomer en utilisant les signes en haut à gauche
Cet extrait de Google Maps permet de bien visualiser la cité de Caesarodunum au IVème siècle. Elle reste bien marquée dans le paysage urbain.
Au centre la rue du Général Meusnier forme un arc de cercle délimitant l'ancien Amphithéâtre, en cliquant sur + en haut à gauche, celui-ci est encore mieux visible par l'agencement des maisons. La ligne de la muraille Gallo-Romaine part de cet amphithéâtre en direction de la rue du Petit Cupidon, juste avant celle-ci, elle remonte vers la Loire (elle est cachée par des maisons et immeubles). Elle est visible sur l'avenue André Malraux, le long du fleuve jusqu'à la rue Lavoisier. A l'angle de l'avenue et de la rue on voit très bien l'emprise de l'ancien château de Tours. La rue Lavoisier passe devant la Cathédrale où des élements de cette muraille sont toujours présents. Ensuite la muraille rejoint l'amphithéâtre qui a d'ailleurs été une partie intégrante de cette muraille.
Saint Martin
C'est Saint Martin qui a évangélisé la région dans la religion Catholique. Saint Martin est né en 316 en Pannonie (actuelle Hongrie), il devient légionnaire et se convertit rapidement à la foi catholique.
Saint Hilaire, évêque de Poitiers, l'ordonne prêtre. Il devient évêque de Tours en 371.
Il fonde l'Abbaye de Marmoutier en 372. Cette Abbaye est rapidement devenue une des plus puissantes de la France Médiévale.
Saint Martin est mort à Candes, au confluent de la Loire et de la Vienne, le 11 novembre 397. A partir de ce moment Tours est devenu, pendant le Moyen-Age, un des centres religieux et de pélerinage les plus importants en Occident.
Sharon Farmer here investigates the ways in which three medieval communities--the Town of Tours, the Basilica of Saint-Martin there, and the Abbey of Marmoutier nearby--all defined themselves through the cult of Saint Martin. She demonstrates how in the early Middle Ages the bishops of Tours used the cult of Martin, their fourth-century predecessor, to shape an idealized image of Tours as Martin's town.
La Touraine Mérovingienne
Les Francs en Touraine En 504 Clovis, le roi Mérovingien des Francs et Alaric II, le roi des Wisigoths, se rencontrent sur l'Ile d'Or à Amboise pour trouver un modus vivendi pacifique. La Loire est alors la frontière entre les deux royaumes. Rien ne sortira de cette réunion.
Les Wisigoths qui dirigent à Tours et le Sud de la région sont de religion Arienne. Ils se trouvent très vite en opposition avec les Chrétiens et en particulier avec les évêeques de Tours, le premier Saint Perpet meurt peu de temps après l'arrivée des Wisigoths, ses deux successeurs sont déportés en Aquitaine et l'un deux Volusien est assassiné.
C'est dans ce contexte que les notables Tourangeaux font appel au roi des Francs que l'on sait favorable à la religion Chrétienne. En 507 l'Armée des Francs pénètre dans le sud de la Touraine et franchit la Vienne au Pas de la Biche (ce nom vient de la légende qui dit qu'une biche aurait guidé les Francs vers ce passage à gué). Les Francs battent les Wisigoths à Vouillé près de Poitiers en 507. Ils envahissent ensuite l'Aquitaine qu'ils soumettent.
En 508, L'Empereur de Byzance attribue le titre de Consul pour l'Occident à Clovis. C'est une reconnaissance de la position du roi des Francs dans l'Europe de l'ouest en particulier vis à vis des Wisigoths. Clovis recoit avec pompe les envoyés de l'Empereur dans la Basilique Saint Martin de Tours.
Après la mort de Clovis la Touraine se trouve au centre des luttes entre ses successeurs. Signe de la position privilègiée de Tours, c'est là que Sainte Clotilde, la femme de Clovis, vient se réfugier. Elle y meurt en 545.
Cinq ans après, en 550, c'est au tour de Sainte Radegonde, la femme du roi Clotaire I, de venir à Tours, elle y fonde le monastère de Sainte Croix et se rend à Candes et Chinon. Puis en 552 elle se rend à Poitiers et y fonde le monastère de Sainte Croix.
Grégoire de Tours L'épiscopat de Saint Grégoire de Tours (573-594) a compté pour la ville qui a pris alors une importance supplémentaire. Un pan entier de l'Histoire des royaumes Francs au VIème siècle n'est connue que grâce à lui. Il raconte en particulier ses conflits avec Leudaste, comte de Tours. Il réussit à préserver l'immunité de la Basilique Saint Martin de Tours accordée par Clovis et Clotaire I. Le pélerinage sur le tombeau de Saint Martin est une source de prospérité pour la ville et la plupart des grands personnages de l'époque y sont venus: Saint Augustin en 598, Saint Colomban en 610, etc...
En 630, Dagobert et Saint Eloi font des dons importants à la Basilique Saint Martin. En 767 Pépin le Bref, roi des Francs, tombé malade y vient à son tour, il mourra l'année suivante.
Tours Mérovingien Pendant la période Mérovingienne deux cités existent à Tours. D'abord le centre administratif et militaire avec le comte et religieux avec l'évêque, il est autour de l'actuelle Cathédrale et du château. Ensuite l'agglomération qui se constitue autour du tombeau de Saint Martin à l'Ouest du premier centre, c'est là que se situe l'activité économique. A la fin du VIème siècle le flux des pélerins se rendant sur le tombeau de Saint Martin est devenu très important.
Entre ces deux cités se développent deux Abbayes. Grégoire de Tours fonde l' Abbaye Saint Julien et une petite Abbaye apparait: Saint Vincent.
Les Francs contribuent à élargir les zones d'occupation en Touraine, la population s'éloigne des vallées pour s'installer sur les plateaux. Numériquement l'implantation Franque est restée faible et n'a pas modifiée la structure de la population, en tous cas les personnes d'origine germanique ont été rapidement intègrées.
La Bataille de Poitiers (732) La bataille de Poitiers (on dit aussi de Tours) a marqué l'arret de la progression des Arabes en Europe de l'Ouest, ils venaient en France après avoir conquis l'Espagne.
Charles Martel, Maire du Palais, a pris position et engagé le combat au Sud de Tours, près de Ballan-Miré et de Joué les Tours, au lieu dit les Landes de Charlemagne. Les Arabes ont reculé jusqu'au dernier combat à Moussais dans le Poitou. Ensuite ils se sont repliés vers le Sud abandonnant l'Aquitaine à Charles Martel.
La Renaissance Carolingienne La Touraine a été très fréquentée par les rois et notables Carolingiens. Ainsi d'importantes réunions d'évêques se sont tenues comme le IIIème Concile de Tours en 813. En 821 l'Empereur Louis I le Pieux demande à son envoyé Pépin de commencer les travaux pour endiguer la Loire. Son fils, le roi de la Francie de l'Ouest, Charles le Chauve venait souvent à Tours qu'il considérait comme la capitale intellectuelle de son royaume.
Le monastère de Cormery est fondé en 791. Alcuin est
nommé Abbé de Saint Martin et de Cormery en 795. Avec lui les Abbayes de Saint Martin de Tours et Cormery deviennent un centre culturel important de l'époque Carolingienne et l'Ecole de Tours est alors la première de l'Empire.
Il ne reste rien des nombreux monuments Carolingiens de Tours, mais plusieurs églises de Touraine datent des IX et Xèmes siècles: Cravant (vieux bourg), Saint Mexme à Chinon, Saint Germain sur Vienne, Restigné, Esvres.
Les Normands En 853 le redoutable chef Normand Hasting ravage l'Abbaye de Marmoutier et tue les moines. Il incendie la Basilique Saint Martin et les autres églises de Tours. Les reliques du saint sont emportees à Cormery, puis à Auxerre.
Le duc de France Robert le Fort essaie de détruire Hasting et sa bande qui sont revenus en Anjou. Mais il meurt lors de la bataille de Brissarthe (866) au nord d'Angers.
Au debut du Xème siecle, Rollon, le futur duc de Normandie lance ses troupes pour aller piller Tours. La vue de la chasse de Saint Martin (selon la légende) portée en procession sur les remparts, fit reculer les Normands. La contre attaque des défenseurs de la ville les repoussa jusqu'a Saint Martin le Beau (de bello) et en tua six cents.
L'Abbaye Saint Martin de Tours à la fin des Carolingiens La charge d'Abbé Laique de Saint Martin de Tours avait une importance considérable. Et les Robertiens, ancêtres des Capétiens étaient particulièrement attachés à leur titre d'Abbé de Saint Martin.
Cette Abbaye a été à certains moments une capitale de l'Etat Robertien au Xème siècle. Le Comte-Abbé était entouré d'évêques, de chanoines, de comtes et de vicomtes. Ses actes étaient écrits ou dictés par les Chanoines de L'Abbaye qui constituaient une sorte de chancellerie.
La Basilique Saint Martin avant sa destruction à la fin du XVIIIème siècle
Au Haut Moyen Age, Tours est une capitale religieuse, d'abord par l'Abbaye Saint Martin et son église qui est un centre de pelerinage important, ensuite par l'Archevêché qui est étendu, il couvre tout le Nord-Ouest de la France, et enfin par l' Abbaye de Marmoutier qui est à quelques kilomètres de la ville en tremontant la Loire.
Cette situation a rendu difficile l'établissement d'un pouvoir temporel dans la ville. Pour autant avec la montée de la féodalité , la Touraine est l'enjeu d'un conflit de plus d'un siecle entre les comtes de Blois et les comtes d'Anjou. Ces derniers
l'ont finalement emporté et la Touraine est devenue ensuite une région centrale de l'Empire Plantagenet.
Tours au XIe siècle: Remparts et Basilique Saint Martin
En 1120 les bourgeois de Chateauneuf cherchent à constituer une Commune. Les Chanoines de l'Abbaye Saint Martin s'y opposent et le différend se termine par l'incendie de la Basilique et du bourg de Châteauneuf en 1122.
Les bourgeois obtiennent une charte communale du roi de France Louis VII en 1143. Celle ci est confirmée en 1181 par Philippe II Auguste qui par la même occasion se substitue aux Chanoines pour rendre la justice.
En 1184 le Pape casse la Commune et ce n'est qu'en 1212, à l'issue de la lutte entre Plantagenets et Capétiens, lorsque la Touraine est réunie à la France que les libertés communales deviennent concrètes. En 1232 les Chanoines reconnaissent enfin les droits des habitants de Chateauneuf. Cet état est confirmé par Saint Louis en 1258.
A partir de 1355, à cause des premiers ravages de la Guerre de Cent Ans, Tours et Châteauneuf sont réunis dans le même ensemble de fortifications.
Le roi de France Louis XI réside en permanence au château de Plessis les Tours. Il favorise le développement de l'industrie Tourangelle de la soie, qui en arrivera un temps à concurrencer celle de Lyon.
C'est en 1462 que Louis XI réunit Tours et Châteauneuf en une seule municipalité avec Maire et Echevins élus.
A partir de Louis XI, les rois de France et la Cour séjournent frequemment en Val de Loire et en Touraine. C'est l'origine de la construction de nombreux et splendides chateaux et demeures dans la région. Ce sont les Chateaux de la Loire.
La noblesse et la bourgeoisie de Tours occupent les plus hautes fonctions de l'état, ses membres (familles Briconnet, Beaune-Semblancay, etc ..) se construisent des chateaux en Touraine et de belles résidences à Tours. L'Hotel Gouin (cf photo ci-contre), réhabilité après les bombardements de la seconde Guerre Mondiale, est un exemple d'habitation construite par la bourgeoisie locale à cette époque.
Après les Guerres de Religion, l'histoire de Tours se banalise, le centre de la vie Francaise s'est désormais déplacé à Paris. Ce n'est que dans les circonstances difficiles que Tours reprend son rôle d'antan.
La vie économique est rythmée par le trafic des voyageurs et marchandises sur la Loire, c'est l'époque prospère de la Marine de Loire.
L'activité près du pont sur la Loire au XVIIIème siècle
Au milieu du XVIIIème siècle la ville est restructurée en particulier par la création d'un nouveau pont qui est prolongé par une grande artère la Rue Royale (maintenant rue Nationale). L'Intendant du Cluzel a eu un role déterminant dans la réalisation de ces opérations.
En 1870 le Gouvernement Francais s'installe à Tours en conséquence de l'invasion Allemande. A la fin du XIXème le développpement du chemin de fer conduit à la construction d'une Gare à l'architecture caractèristique. Saint Pierre des Corps devient une gare de triage importante. En contrepartie des progrès des chemins de fer l'activité fluviale sur la Loire se réduit considérablement. L'axe principal de la vie de Tours n'est plus le long de la Loire mais perpendiculaire avec la rue Nationale et son prolongement, l'Avenue Grammont. C'est à la même époque que sont démolis beaucoup de monuments de la ville de Tours, le dommage au patrimoine culturel de la ville est irréparable.
La Seconde Guerre Mondiale
En 1940, Tours sert de point de repli intermédiaire pour le Gouvernement Francais dont les armées reculaient devant la progression des Allemands.
Les bombardements Allemands de juin 1940 ont démoli une partie du centre ville faisant disparaitre de nombreux monuments anciens.
Le 15 juin les avions allemands bombardent des colonnes de réfugiés à Parcay-Meslay. Dans la matinée du 16 le quartier des Prébendes recoit des obus et à 13h30 c'est l'aviation italienne qui tire sur le pont de pierre.
Le 17 juin le Maréchal Pétain demande l'Armistice aux Allemands. L'Armée Francaise, ayant des velléités de défendre la ville, fait sauter à 23h une arche du pont coté Saint Symphorien. Le 19 juin au matin les Allemands sont positionnés à l'entrée de Tours et tirent des obus sur la ville. L'artillerie Francaise s'est installée à Joué les Tours et tire sur les positions Allemandes de Saint Symphorien. Le bombardement de la ville se poursuit toute la journée et le lendemain 20 juin. Pourtant le 20, à 17h une trêve est accordée pour le passage de de la délégation Francaise chargée de discuter l'Armistice. Le Maire de Tours en profite pour discuter avec les chefs Allemands. Finalement les bombardements de la ville ne reprendront pas mais les dégats sont considérables, douze hectares d'immeubles ont été rasés. La photo ci dessous permet de mesurer l'étendue des destructions dans le centre ville, seule l'église Saint Julien est restée debout par miracle.
Le Centre de Tours après les bombardements de juin 1940
Après la Guerre, la zone détruite est rebatie dans un style homogène mais qui ne peut que faire regretter certains beaux immeubles disparus.
A partir des années 1960 une opération importante de réhabilitation du quartier Chateauneuf-Plumereau est engagée, le résultat est particulièrement réussi.
Les Tourangeaux célèbres
Grégoire de Tours, évêque et auteur de l'Histoire des Francs au VIème siècle
Jehan Fouquet, Peintre du XVème siècle
Michel Colombe, Sculpteur de la Renaissance
Abraham Bosse, un Graveur important du début du XVIIème siècle
Claude Vignon (1593-1670), Peintre du XVIIème siècle
Honoré de Balzac, Ecrivain du XIXème siècle
Henri Bergson, Philosophe du XXème siècle
Anatole France, Ecrivain du XXème siècle
Georges Courteline, Ecrivain du XXème siècle
Camille Chautemps, Président du Conseil pendant la IIIème République